Depuis début janvier, avec Nathalie et Antoinette on essaye de se défiler d'aller à la piscine le dimanche matin. Dimanche dernier Nathalie recevait sa famille et n'est pas venu. Pas grave, on y est allé quand même. Ce dimanche Nathalie allait dans sa famille en Moselle et moi je suis invitée ce midi à Blebleheim (ça ne doit pas être le nom ... mais ça y ressemble) et le sèche linge ayant rendu l'âme, il fallait encore une nuit de sèchage au petit linge de Matthieu ; donc je me suis autodispensée. Mais Antoinette n'en reste pas là. Voici son message reçu il y a quelques minutes :
"Voilà, j’en reviens. J’ai eu beau chercher ce matin une excuse encore plus bidon, pas trouvé.
La montagne de linge à repasser m’a rassurée : t’inquiète, quand tu reviens, je serai toujours là, voir j’aurai grandi.
J’ai bien demander à Marc, s’il était bien sûr que personne ne nous avait invités, mais non, nous n’avons pas d’amis qui compromettent mon entrainement sportif.
Après notre soirée bien arrosée, je lui ai demandé s’il n’avait pas un poids sur la conscience dont il voudrait se débarrasser auprès de Dieu. Je crois qu’il a cru que je n’avais toujours pas dessaoulé.
Mon maillot était top prêt dans le sac. J’avais même la monnaie pour payer l’entrée et emprunter un casier (car il faut le savoir, Ln a failli me faire le coup dimanche dernier).
Mon vélo n’a pas été volé dans la nuit, les pneus sont restés gonflés. Avant dernier espoir : mais non la piscine n’est pas fermée (‘le grand bleu 2’ ne semble pas être tourné à la Kibitz), dernier espoir : fréquentation maximale atteinte ? Même pas.
Expliquez-moi comment vous faîtes pour trouver des excuses à la ramasse, je cherche toujours pour dimanche prochain !"
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